C'etait il y a 20 ans et je m'en souviens comme si cela venais de ce passer il y a une heure.
A l'époque, une bande de redoutable loup-garous battait la campagne et après avoir capturés mes fréres de sang ils les torturés ceux-ci sans limites. Leur chef etait un redoutable guerrier assoiffés de sang et de haine.
Nous avions appris, a l'époque, oû ils étaient térrés.
C'est après avoir réuni tous les vampires qui pouvaient encore combattre, que nous décidâmes de les éradiquer. Ce fut par une nuit sans lune, pour nous donner l'avantage, que nous partimes chasser ces démons qui éffrayés les humains et nous traquer sans relaches.
Mais même sous leur forme humaine, la bataille fût terrible.
Et ce fût peu avant l'aube que nous tuâmes le dernier. Le dernier? Non. Car, alors que mes amis quittés le champs de bataille, j'entendis un cri furtif dans la chambre de la demeure.
Ce cri s'intensifia pour ne laisser aucun doute qu'a son origine : un bébé.
Ma haine pour les lycans n'ayant aucune limite et afin de parfaire le boulot, je décidas d'allé renvoyer cet enfant d'oû il était venu.
La porte explosa sous ma force et je découvris une chambre d'enfant avec peluche et une petite boîte a musique qui étalé sa chanson monotone. l'adrénaline ayant coulé dans mes veines pendant la bataille, j'étais encore énervé près a mettre un énorme coup de pied dans le berceau qui aurait, a coup sûr, parachever l'oeuvre de la nuit. C'est ainsi que, la bave aux lévres, je cours vers le berceau. Mais ma curiosité pris le dessus, je tentas un rapide coup d'oeil ou dessus du berceau afin de voir quel bête immonde les lycans pouvaient mettre au monde. Si ces yeux qui brillaient d'un intense emeraude trahissés déja quel puissant loup il allait devenir, rien d'autres ne le différencié d'un quelquonque bébé humain. Pire même, il me sourit; d'un sourire enfantin plein d'innocence à moi qui avait encore le sang de ses parents sur mes crocs.
Alors, ma nature de meutrier s'évanoui un minuscule instant, et je laissa donc a la nature le soin d'en finir avec lui, dégouter par tout ce sang. Je parti donc en toute hâte vers ma crypte priant pour que le soleil se laisse ralentir par la douceur de ce matin et pour qu'un chient errant trouve l'enfant pour en faire son festin.
Comme je me souviens de ses yeux emeraude...
Comme je regrette cette nuit oû un accés de pitié a causé ma perte.
Car si ces yeux émeraude me scrutent avec haine en ce moment : je les reconnu tout de suite; je n'avais pas remarqué son haleine putride qui me pique désormais le nez, ni ces mains puissantes et griffus qui transpercent le torse de part en part.
Je crois que ce soir, je vais être le festin de ce jeune frelluqué qui m'a offert il y a 20 ans un peu de ce qu'était mon humanité.
A l'époque, une bande de redoutable loup-garous battait la campagne et après avoir capturés mes fréres de sang ils les torturés ceux-ci sans limites. Leur chef etait un redoutable guerrier assoiffés de sang et de haine.
Nous avions appris, a l'époque, oû ils étaient térrés.
C'est après avoir réuni tous les vampires qui pouvaient encore combattre, que nous décidâmes de les éradiquer. Ce fut par une nuit sans lune, pour nous donner l'avantage, que nous partimes chasser ces démons qui éffrayés les humains et nous traquer sans relaches.
Mais même sous leur forme humaine, la bataille fût terrible.
Et ce fût peu avant l'aube que nous tuâmes le dernier. Le dernier? Non. Car, alors que mes amis quittés le champs de bataille, j'entendis un cri furtif dans la chambre de la demeure.
Ce cri s'intensifia pour ne laisser aucun doute qu'a son origine : un bébé.
Ma haine pour les lycans n'ayant aucune limite et afin de parfaire le boulot, je décidas d'allé renvoyer cet enfant d'oû il était venu.
La porte explosa sous ma force et je découvris une chambre d'enfant avec peluche et une petite boîte a musique qui étalé sa chanson monotone. l'adrénaline ayant coulé dans mes veines pendant la bataille, j'étais encore énervé près a mettre un énorme coup de pied dans le berceau qui aurait, a coup sûr, parachever l'oeuvre de la nuit. C'est ainsi que, la bave aux lévres, je cours vers le berceau. Mais ma curiosité pris le dessus, je tentas un rapide coup d'oeil ou dessus du berceau afin de voir quel bête immonde les lycans pouvaient mettre au monde. Si ces yeux qui brillaient d'un intense emeraude trahissés déja quel puissant loup il allait devenir, rien d'autres ne le différencié d'un quelquonque bébé humain. Pire même, il me sourit; d'un sourire enfantin plein d'innocence à moi qui avait encore le sang de ses parents sur mes crocs.
Alors, ma nature de meutrier s'évanoui un minuscule instant, et je laissa donc a la nature le soin d'en finir avec lui, dégouter par tout ce sang. Je parti donc en toute hâte vers ma crypte priant pour que le soleil se laisse ralentir par la douceur de ce matin et pour qu'un chient errant trouve l'enfant pour en faire son festin.
Comme je me souviens de ses yeux emeraude...
Comme je regrette cette nuit oû un accés de pitié a causé ma perte.
Car si ces yeux émeraude me scrutent avec haine en ce moment : je les reconnu tout de suite; je n'avais pas remarqué son haleine putride qui me pique désormais le nez, ni ces mains puissantes et griffus qui transpercent le torse de part en part.
Je crois que ce soir, je vais être le festin de ce jeune frelluqué qui m'a offert il y a 20 ans un peu de ce qu'était mon humanité.